Survol en drone du village martyr d’Oradour-sur-Glane

Drone-malin à filmé en drone, pour Pierre, historien des « Les Capsules de l'Histoire » le village martyr d’Oradour-sur-Glane, un tournage inoubliable et marquant pour le pilote de drone.

Situé à l'origine dans le département de la Haute-Vienne, dans l'ouest de la France, à environ 25 km au nord-ouest de Limoges, le village d’Oradour-sur-Glane est constitué de deux parties, le nouveau village construit après la guerre a quelques centaines de mètres des ruines du village martyr, gardé en l’état, pour les générations futures en mémoire de ce crime de guerre.

En Juin 1944 une division SS appartennent à la 3e compagnie du 1er bataillon de Panzergrenadier, commandé par le Sturmbannführer Adolf Diekmann, du 4e SS-Panzer-Regiment Der Führer, de la 2eSS-Panzer-Division Das Reich, remonte du sud-ouest de la France pour aller combattre en Normandie. Harcelée par les Forces françaises de l'intérieur (FFI), elle riposte par de sanglantes représailles, comme à Tulle ou le 9 juin 1944, 99 hommes sont pendus dans la ville devant les villageois.

Le 10 juin 1944, les SS encerclent le bourg d'Oradour-sur-Glane et regroupent l’ensemble des villageois sur la place du Champ-de-Foire, pour une soit disent vérification d’identité. Mais plusieurs personnes qui n'obéissent pas aux ordres ou ne peuvent se déplacer sont abattues et brulés sur place.

La population est séparée en deux groupes, les femmes et les enfants, de l'autre les hommes.

Les 241 femmes et 205 enfants sont enfermés dans l’église, des soldats y placent une caisse qui contient un gaz asphyxiant et qui explose par erreur, une fusillade éclate dans l’église puis les corps qui gisent sur le sol sont recouverts de paille, de fagots et des chaises de l’église, puis les SS y mettent le feu. Une seule femme survit au carnage, Madame Marguerite Rouffanche qui parvient a sauter par une fenêtre. 

Les 197 hommes sont regroupés dans six granges où ils sont mitraillés le plus souvent dans les jambes, puis les victimes la majorité encore vivants est recouverts de fagots et de bottes de paille auxquels les SS mettent le feu. Six hommes ; Robert Hébras, Jean-Marcel Darthout, Mathieu Borie, Clément Broussaudier, ainsi que Pierre-Henri Poutaraud, ont survécu au massacre.

Les SS pillent et incendient le village afin d’effacer les traces de leurs exactions, à la fin du massacre d'Oradour, seuls 52 corps ont pu être identifiés sur les 643 victimes civils, il reste l'un des plus atroces massacres commis en France par les armées allemandes.

Site classé aux monuments historiques pour que ce crime de guerre ne soit jamais oublié et puisse servir de leçon aux générations futures et un rappel de la nécessité d'œuvrer pour un avenir plus pacifique.

Vues aériennes par drone, réalisée en souvenir et hommage des 643 victimes du massacre d'Oradour-sur-Glane

Vidéo aérienne par drone d'Oradour-sur-Glane

Vidéo aérienne par drone du village martyr d'Oradour-sur-Glane située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine. En début d’après-midi du Samedi 10 Juin 1944, des soldats SS de la division « Das Reich » ont regroupé sur la place du champ de foire et massacré 643 civils dans le village d'Oradour-sur-Glane, les 241 femmes et 205 enfants sont brulés dans l’église, les 197 hommes sont abattus puis brulés dans six granges. Les SS pillent et incendient le village, a la fin du massacre d'Oradour, seuls 52 corps ont pu être identifiés, il reste l'un des plus atroces massacres commis en France par les armées allemandes

Photographies aériennes par drone d'Oradour-sur-Glane

Retrouvez plus d’informations sur Oradour-sur-Glane https://fr.wikipedia.org/wiki/Oradour-sur-Glane
Prises de vues réalisées en drone, par pilote professionnel avec toutes les autorisations nécessaires.